AVEC :

« nous l'horizon resterons seul » de Jean François Spricigo au Pavillon d'exposition

Jean-François Spricigo

Souvent rigolo, à tendance enthousiaste, prompt à l’émerveillement et passablement impatient. Son vertige est un prétexte à l’envol (il apprend encore à atterrir).

Humain pluridisciplinaire, associé au 104 Paris, représenté par Camera Obscura Paris.

Il aime inconditionnellement le sauvage en chacun, selon lui, il n’existe aucune hiérarchie dans le respect : peu importe la forme choisie par la Vie, l’important est la Vie dans la forme.

Ainsi pouvons-nous tous nous reconnaître intensément vivants.

nous l'horizon resterons seul

L'outre-mer, un élan, des rencontres, tant de joies ignorées jusqu'alors, de l'inattendu en intensité. Ce récit ne constitue cependant ni une série ni un concept. La Vie ne s'exprime pas en séries, tout est neuf, inlassablement. Pas davantage de démarches, mais des marches : sous la pluie, le vent, le soleil, bordées de l'infini du ciel auprès duquel pressentir l'infini en soi. Conquête à l'acuité fragile, l'issue sera la chute.

Mais je ne tombe pas, le vertige des gouffres est celui des révélations.

À voir aussi :

« La Garenne du Prince » de Le Turk au Jardin de la Cour du doute

Le Turk est un photographe et réalisateur français.

Né en 1983, Sébastien Salamand dit Le Turk débute son parcours photographique en 2010. Séduit par la capacité de la photographie à fusionner ses aspirations en matière de couleurs, il choisit de faire de la photographie son métier d’artiste. Mélange singulier entre la peinture classique et la culture pop, son univers évoque un décor cinématographique où le faux et le vrai coexistent. Actuellement, il dirige ses efforts vers l’écriture d’une bande dessinée, d’un long métrage, ainsi que d’une série, démontrant ainsi sa polyvalence et son engagement dans des projets créatifs variés.

Il détonne dans le paysage photographique français et européen par ses photos hautes en couleurs, aux personnages baroques et nostalgiques. C’est au sein de son atelier qu’il imagine, dessine et construit lui-même ses propres décors, dans lesquels ses personnages prennent vie. Tantôt baroques et nostalgiques, tantôt naïfs et colorés, ses tableaux aux allures de décors de cinéma se jouent du faux et du vrai, d’un passé fantasmé et de notre présent tragi- comique.

LES JOURS DE FÊTE DES PROMENADES PHOTOGRAPHIQUES

En présence des artistes

25-26-27-28 juillet

Avec :
Visites d’expositions (Blois, Mer, Mont-près-Chambord)

Ateliers photographiques avec la Curieuse Équipe (Fondation du doute)

Remise du Prix Mark Grosset-SAIF (Fondation du doute)

Projections extérieures (Jardins de l'Evêché)

Salon de l’édition (Fondation du doute)

Séances de dédicaces (Fondation du doute)

Concerts (Jardins de l'Evêché, Fondation du doute, Port de la Creuzille)

Accès tous publics.

Expositions visibles du mercredi au dimanche de 14h à 18h30

+ de détails sur la programmation

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